MISE EN FOURRIERE ET GESTION DU SUIVI DES ANIMAUX ERRANTS ET/OU BLESSES / RAMASSAGE DES ANIMAUX MORTS / STERILISATION DES CHATS LIBRES SUR LE TERRITOIRE DE LA VILLE DE MARSEILLE / 2 LOTS
lien : http://citoyen-ne-s-de-marseille.fr/wp-files/eg-transparency/?VILLE/DCE/2021/2021_30502_0030 – MISE EN FOURRIERE ET GESTION DU SUIVI DES ANIMAUX ERRANTS ET/OU BLESSES / RAMASSAGE DES ANIMAUX MORTS / STERILISATION DES CHATS LIBRES SUR LE TERRITOIRE DE LA VILLE DE MARSEILLE / 2 LOTS
– L’élaboration de menus mensuels adaptés à la diététique des très jeunes enfants accueillis dans les établissements municipaux d’accueil de la petite enfance et la fourniture de denrées alimentaires (les repas sont préparés par le personnel municipal en cuisine) – La fourniture et la livraison de repas spécifiques pour de jeunes enfants atteints d’allergies alimentaires, accueillis dans les établissements municipaux de la petite enfance.
lien : http://citoyen-ne-s-de-marseille.fr/wp-files/eg-transparency/?VILLE/DCE/2021/2021_20302_0008 – Elaboration de menus et fourniture de denrées alimentaires et de repas spécifiques dans les établissements municipaux d’accueil de la petite enfance (2 lots)
Travaux maritimes de modernisation du bassin du Roucas Blanc
lien : http://citoyen-ne-s-de-marseille.fr/wp-files/eg-transparency/?VILLE/DCE/2021/2021_45002_0015 – Travaux maritimes de modernisation du bassin du Roucas Blanc
Travaux maritimes de modernisation du bassin du Roucas Blanc
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Erreur de rédaction de contrat à plus de 2 Millions d’euros…
Et cette même équipe voulait se lancer dans la rédaction d’un contrat de 25 ans pour des marchés de partenariat de déconstruction et construction de 34 écoles ?!
Ouch …
« Nous sommes une maitrise d’ouvrage forte ! » …
et bah voilà … ça va défriser la barbe de certains !
Bombardier – Les rames « Flexity » fournies par Bombardier souffrent d’une usure précoce des vis sans fin.
Douze ans seulement après leur mise service, les rames
du tramway marseillais montrent des signes de fatigue. La RTM va
injecter 2,253 millions d’euros pour remplacer les vis qui permettent
l’ouverture des portes des 26 premières rames du réseau.
2,253 millions d’euros HT : c’est le montant que va injecter la
Régie des transports métropolitains (RTM) dans les travaux de remise en
état des portes des 26 premières rames de tramway du nouveau réseau de
tram’ phocéen. Douze ans après leur mise en service, ces rames « Flexity
» fournies par le fabricant canadien Bombardier*
souffrent d’une usure précoce des vis sans fin, éléments clefs du
mécanisme d’ouverture des portes. La RTM doit donc procéder à leur
remplacement. Mais plutôt que de mandater un prestataire à même
d’effectuer une simple réparation de ces fameuses vis défectueuses,
voire de demander à Bombardier de prendre en charge cette remise à neuf,
l’exploitant doit se tourner vers KBSF** (Tinqueux, Marne),
l’entreprise allemande sous-traitante du constructeur canadien qui a
fourni les vis défectueuses.
La démarche pourra sembler paradoxale : payer un prestataire qui n’a
pas respecté son engagement en matière de fiabilité, voilà qui
interroge. Mais dans cette affaire, la RTM est pieds et poings liés,
victime du manque de vigilance des services de la communauté urbaine
Marseille-Provence Métropole (MPM), autorité organisatrice de la RTM à
l’époque du lancement du marché d’achat des rames du tram’ en 2004. Dans
le marché conclu avec Bombardier, MPM et son exploitant la RTM
n’avaient pas pris soin de s’arroger la propriété de la documentation
technique permettant la maintenance des dites portes. Pas si grave nous
direz-vous : il suffisait de demander à l’entreprise de la fournir a
posteriori, y compris moyennant paiement…
Marché sans fin, comme les vis…
Seul hic explicité en toutes lettres par la RTM : « KBSF ne veut pas aujourd’hui vendre cette documentation qui est indispensable pour connaître le mode opératoire de montage ».
A défaut de pouvoir se tourner vers un autre industriel à même de
garantir la remise à niveau d’un matériel fourni par un concurrent,
l’exploitant a donc dû se résoudre à solliciter le sous-traitant
responsable du dysfonctionnement. Le secret industriel va ainsi
permettre à KBSF d’encaisser 2,253 millions d’euros pour permettre aux
usagers de la RTM d’éviter de se heurter aux portes closes de leur
tramway… Ces derniers qui sont également contribuables espèrent
simplement que le marché attribué le 24 juillet dernier a cette fois
prévu la mise à disposition du manuel de montage…
* Les 26 rames « Flexity » livrées en juillet 2007 par
Bombardier ont représenté un coût unitaire d’environ 2,1 millions
d’euros (soit un coût global de 54,5 M€). Ces dernières ont ensuite été
allongées en 2012 (de 32 à 42 mètres par l’ajout de deux modules)
moyennant une dépense supplémentaire de 23 M€ (réglée par MPM). En 2013,
MPM et la RTM ont fait l’acquisition de six rames supplémentaires pour
l’extension du réseau de tram’ sur la rue de Rome.
** Knorr-Bremse Systèmes Ferroviaires (KBSF) France est la filiale
française de la branche rail du groupe allemand Knorr-Bremse (Munich) et
emploie plus de 160 personnes sur son site de Reims et sur les sites de
ses clients en France. La filiale française a réalisé un chiffre
d’affaires de 59,3 M€ en 2017.
2 millions d’euros pour les réseaux sociaux et les jeux concours sur
Facebook, Twitter et autre Instagram pour promouvoir la ville de
Marseille… Bon ok nous sommes de mauvaise foi, c’est pour une durée de
4 ans…
Alors nous pourrions parler des 12 millions d’euros
prévus pour la maintenance des caméras de videosurveillance de la ville
pour les 4 années à venir…
On continue ?…
Bon bah visiblement pour entretenir nos écoles, il ne nous reste plus
qu’à organiser des lotos ou à vendre des webcam pour notre smartcity si
l’on s’en tient à la stratégie financière de notre ville.
Pour
mémoire, le budget de fonctionnement consacré uniquement aux bâtis
scolaires (comptes 615x) n’est même pas de 4 millions d’euros par an
pour nos 450 écoles…
Visiblement leurs priorités et leurs réalités ne sont pas les nôtres.
Bah voilà, nous avons eu confirmation, les sociétés qui réaliseront
les audits techniques exhaustifs des écoles seront certainement des
bureaux de contrôle : l’apave pour le secteur Nord (lot 1) et
Qualiconsult pour le secteur sud (lot 2).
Pour sensiblement le
même nombre d’ecoles dans chaque lot, 581 600 euros pour le lot secteur
Nord, et 1 467 420 euros pour le secteur Sud. Ne nous demandez pas
pourquoi cet écart considerable, nous cherchons…
Les 581 600 euros du lot du
secteur Nord nous paraissent faibles eu égard aux 250 établissements et
les éléments à produire : pré audit des éléments existants (rapports,
plans, travaux) audit sur site technique et fonctionnel, demande
d’investigations complémentaires, établissement des travaux avec
priorisation, et enfin saisie dans le logiciel de patrimoine de la
ville.